- Actualités
- un château et un dragon
- Déchets verts
- SE SOUVENIR D’ARTHUR NOTEBART
- Fête de Noël : aménagements horaires
- Construire son chemin, de fil en aiguille
- Construire la piscine de demain
- Une nouvelle étape pour la Délivrance
- Vive la participation
- BENNES À SAPINS
- La générosité au service des tout-petits
- Bonne année à vous !
- Plantations, où en est-on ?
- REGARDS SUR DES VIES LOMMOISES
- Nouveau numéro en ligne
- Cérémonies des voeux
- Fermeture de l'Etat-Civil
- Fermeture service municipaux
- Je veux du soleil
- De la terre à l'assiette : au service de l'excellence
- Ouvrons le débat avec Benoît Hamon
- Demandez le programme
- Une vie de timbré
- Conseil communal
- Et après la troisième ?
- Lomme, une ville à la montagne
- Toute une histoire
- Renouveler la Ville
- A la rencontre de vos élus
- Et mon amie la rose...
- Au service des jeunes lommois
- Des spectacles pour les tout-petits
- Inscriptions pour Quand Lomme Court
- Qu’est ce qu’on boit ?
- Le verre, c'est dans la borne
- POUR LES DROITS DES FEMMES
- Mise au poing
- Une Ville où chacun a sa place
- PRENDRE SOIN DE SON VÉLO
- Nommer pour faire exister, vous venez ?
- La Prime Vélo (& Accessoires) fait son retour
- IL ÉTAIT UNE FOIS LOMME : AVANT LE PARC, L’ACIER !
- RHD2 : REPENSER LA VILLE SUR ELLE-MÊME
- Appel à projets
- GARDE LA PECHE
- Job d'été
- L'état de catastrophe naturelle reconnu à Lomme
- MONSIEUR LE PRESIDENT
- Avec des fleurs, la ville est plus belle
- Un écrin de verdure à (re)découvrir
- Dans le mille
GARDE LA PECHE
Maéva se passionne pour la pêche depuis toujours, une passion qu’elle pratique au Parc Urbain au sein de l’Union des Pêcheurs Lommois, où elle s’investit au quotidien, en plus de ses études.
Le premier souvenir de pêche, elle a 3 ans et est avec ses grands-parents. Ce loisir, qui est aussi un sport, c’est une histoire de famille chez les Zygarowicz, une passion qu’elle partage en particulier avec son père, tout au long de l’année à Lomme mais aussi en vacances, la présence d’étangs de pêche étant un critère de destination.
20 ans après cette découverte, le plaisir est toujours là, il se niche même dans les détails: « Ça demande de la préparation, on ne décide pas d’aller pêcher sur un coup de tête. Il faut préparer la canne, les élastiques, les fils, les appâts, qui ne sont pas les mêmes selon les poissons que l’on cherche. Et puis bien sûr le pique-nique ! Qui dit pêche dit toute une journée au bord de l’eau. Et là, c’est le calme, le plaisir, j’observe les canards, les oiseaux, les poissons. C’est un vrai luxe d’avoir tout ça en pleine ville ».
En plus de sa pratique, celle qui se destine à devenir professeure des écoles s’investit dans l’association en tant que garde pêche, avec comme mission une surveillance de l’étang, que tout le monde soit bien en règle, que l’ensemble des animaux (qui sont parfois la cible d’actes malveillants) aillent bien.
Et puis il y a aussi, quand c’est possible, l’initiation des élèves de l’école Lamartine dans le cadre des parcours éducatifs.
« C’est quand même un milieu encore très masculin alors quand je vois des jeunes filles se passionner, ça me fait plaisir ».
Atteinte d’une maladie orpheline qui la fatigue assez régulièrement, elle mêle l’intime à l’agréable en déployant son énergie à l’occasion du Téléthon, un marathon de 36h de pêche non-stop. Mais ce qu’elle préfère, c’est après, le retour au calme et le plaisir
de relâcher les carpes ou esturgeons car c’est la règle de la pêche « no-kill » qui s’applique ici.